Dokidoki chapitre 53

 

Chapitre 53 - Le festival culturel, le majordome et le café [1]

"La classe 2-A a choisi le café. Les personnes en charge seront Kiritani-kun, Fujisaki-kun et Tsubaki-kun… tous ceux qui veulent les rejoindre… "

Lorsque les meilleurs élèves de l'école, Prince, Kaname et Soutarou, font leur entrée, aucun héros n'a le courage de faire du bénévolat.

Eh bien maintenant, la saison des festivals culturels est arrivée dans notre école d'Izumino. Le festival culturel se déroule sur deux jours, les premiers samedi et dimanche d'octobre. Il semble que nous nous préparions en utilisant notre temps après la classe jusque-là.
Notre classe avait décidé de faire un café. De plus, ce n'était pas un café normal mais un café de majordome et de serveuse. Bien que je voulais faire quelque chose de plus tranquille, comme une exposition ou des présentations au lieu d'un café avec un tel concept, notre classe était étrangement enthousiaste et j'ai malheureusement été rejeté.
Je ne voulais absolument pas être un serveur. Ce serait bien si je pouvais faire la vaisselle à l'arrière ou faire quelque chose qui ne nécessitait pas mon apparition. Au moment où je pensais à de telles choses, Hasumi, la représentante des femmes au sein de la classe, lança une déclaration qui ressemblait à une bombe.

"Les frères et sœurs Sakurai devraient le faire ~. La gentillesse de Mitsuki est célèbre parmi les élèves de notre année et Makoto, étant le frère aîné de Mitsuki, a probablement fait l'objet de rumeurs."

"Eh, naw."
Je serais juste la risée si le moi complètement ordinaire se mélait comme un majordome à ces visages scintillants.
Je finirai certainement par m'inquiéter de nos valeurs faciales disparates. Ah, mais un visage normal comme le mien sera peut-être bon pour les femmes qui ont du mal à manger après avoir vu des visages scintillants. Parce que c'est terriblement embarrassant de manger devant ikemen pour une raison quelconque.

"Je veux aussi voir Mako-chan comme un majordome. Je serai une maid si tu es un majordome, Mako-chan."

Mitsuki me regardait avec un sourire doux et moelleux, un sourire angélique.
Apparemment, je n'étais pas le seul à être tombé pour ce sourire angélique. Les personnages au fond de ma classe ont rougi furieusement et ont été assommés par le sourire de Mitsuki. Le charme de Mitsuki, ses caractéristiques ménagères et ses caractéristiques sportives sont devenus très importantes avant que je le sache et elle était devenue une petite idole pour la classe.
J'aimais le type réconfortant et curatif des héroïnes adorable de jeux d'otome, de sorte que les spécifications ont fini par devenir si déséquilibrées. J'y réfléchis mais je ne le regrette pas. La Mitsuki actuelle est mignonne de façon transcendante, donc ça va!
Néanmoins, ses spécifications académiques devaient augmenter pour capturer Takayanagi, hein.

Bien que je voulais vraiment voir l'ange Mitsuki en maid, je pensais que le rôle de majordome serait risqué - un risque trop élevé.
Alors que je gémissais, tiraillé entre raison et instinct, Soutarou me tira la manche. Je le regardais. Les oreilles du chien de Soutarou s'abaissaient de façon découragée alors qu'il me regardait les yeux levé.
Ahh, je connaissais très bien ce regard. C'était la technique qui tuait à tous les coups, cette expression de bon à rien qu'il faisait quand il demandait quelque chose.

"Je ne veux pas être majordome si Mako ne le fait pas… je veux être responsable du même domaine que Mako." [Soutarou]
"Je n'ai jamais dit que je serais un majordome en premier lieu." [Prince]

Oh, Prince a commencé à dire des choses égoïstes.

"Sakurai ..."

Hasumi me lança un regard noir.
Même si je n'ai rien fait de mal, est-ce que je ne commençais pas à ressembler à un méchant? Des sueurs froides ruisselaient sur mon front et mon visage devint rouge.
Les filles de ma classe me lançaient des regards horribles. Je comprenais que les filles voulaient voir Prince et Soutarou en majordomes. Je comprenais.

"Je sais déjà. Je dois juste le faire, non? J'ai juste à le faire. "

Allez-y et rigolez de moi le froussard, je n’ai pas eu le courage de passer le reste de ma vie à l’école après avoir transformé les filles qui veulent voir Prince et Soutarou comme majordomes et les gars qui veulent voir Mitsuki comme maid, en ennemis.

Après l'école. On m'a ordonné d'aller me faire prendre mes mesures par des membres du club de création de vêtements et des bénévoles de ma classe qui confectionneront les vêtements du majordome. C'est assez étonnant que les lycéens puissent faire des smokings qui seront les vêtements des majordomes. C'était peut-être la magie d'un monde de jeu d'otome où tout était possible.
Y compris Prince, Kaname, Soutarou et moi, il y avait 8 personnes nommées pour être majordomes. En comptant Mitsuki, 7 filles avaient été désignées comme maid. Les majordomes et les servantes avaient été choisis parmi ceux dont les visages étaient les plus beau dans la classe, alors pourquoi moi…

"J'ai hâte de voir Mako-chan comme un majordome. Tu seras sûrement cool."

"Je me demande. C'est Mitsuki qui sera sûrement mignonne. "

Mitsuki vêtue d'une tenue de maid en mini-jupe avec des chaussettes jusqu'aux genoux sera probablement tellement stimulante que mon corps va se couper en deux.
Bien que mon intention n’était pas d’être un majordome, il se pouvait que je reçoive une bonne récompense comme je pouvais voir Mitsuki en maid.

“Les frères et sœurs Sakurai ー! Arrêtez d'être lovey-dovey! Viens, Sakurai. Je vais te mesurer. "
"Kay, merci, Hasumi. Est-ce que je devrais aussi enlever ma chemise?"

Enlevant mon cardigan d'école et le laissant sur la table, je m'approchais de Hasumi.
Lorsque je posais la main sur ma cravate pour l'enlever, le visage de Hasumi rougit alors qu'elle secouait la tête avec ferveur. Tu n'étais pas obligé d'être aussi gêné. À ce stade, je ne serais pas gêné en montrant simplement la partie supérieure de mon corps. Parce que j'avais vécu un certain nombre de choses plus embarrassantes que cela.

“Ta taille est exactement de 1,78 m, la largeur…”

Hasumi mesurait pendant que la fille à côté d'elle notait.
Je n'avais même pas grandi d'un millimètre depuis avril. C'était un peu dommage.

"Je pensais que Kiritani était mince mais toi aussi, Sakurai ~"

Je faisais la moue devant les mots apparemment moqueurs d'Hasumi.
Le commentaire "mince" que j'aurais adoré entendre en tant que fille ne me rendait pas vraiment heureux maintenant que j'étais un mec. Eh bien, on ne m'avait jamais dit que j'étais mince quand j'étais une fille.

"Shuddap. Avec ça, je devrais peut-être essayer de m'entraîner ou autre chose… "

"Kyaa, Tsubaki-kun, tu as vraiment une belle construction ~. Ta poitrine est bien construite ~ "

En regardant dans la direction, j'ai entendu la clameur des filles, Soutarou était entouré de filles en train de faire du bruit.
Une poitrine bien construite qui se distinguait malgré sa chemise, une taille étroite et un dos large. Soutarou-san, tu as bien cerné tous les points stimulants pour les filles.

"Hé, vraiment…"
"Ouais, ce sont de beaux muscles ~"

“Peut-être parce que je joue au basket. Cependant, je n'ai jamais vraiment fait attention à eux."

Je souriais au Soutarou qui se grattait la tête timidement.
Pour moi qui préférais fondamentalement regarder les gens amoureux ou l'héroïne-chan du jeu d'otome faire de son mieux pour avoir ma propre romance, c'est plus amusant de regarder les ikemen comme ça.

Il était trop fatiguant de se faire kabédonner, de s'embrasser sur la joue ou de se perdre dans des scènes de combat. Je pense qu'il était encore plus fatiguant de recevoir la bonne volonté de quelqu'un.

"D'accord, Sakurai, j'ai fini ~. Coopàres avec le shooting photo de l'affiche une fois que les vêtements du majordome seront prêts. "
“Hah? Affiche?"

"En fait, nous voulions la photo de Kiritani, mais il a refusé de la prendre si Sakurai n'était pas là."

En d'autres termes, ils voulaient que je participe à la séance photo afin d'obtenir la photo de Kiritani?
Prendre la pose dans une photographie à côté du super prince Ikemen n'était rien d'autre qu'un jeu de honte public. Je sentais vivement l'enthousiasme de la gens sur les beaux visages. Je vais certainement, certainement obtenir « Sheesh, ce Sakurai, comment a-t-il l'audace d'être debout à côté du Prince pfftーhehehehe » en réponse!

"Absolument pas!"

"Là-bas, fais de ton mieux. Tous les membres de la classe réalisant les meilleures ventes pour le festival culturel recevront 5 tickets de repas pouvant être utilisés dans les magasins de l'école et à la cafétéria, tu sais?"

"Je veux ça mais ... je veux ça mais ..."

Avec 5 tickets de repas, on peut avoir un déjeuner luxueux avec le set le plus cher de 1800 yens.

"C'est décidé alors! Je te contacterai quand le smoking sera terminé ~ ”

"Eh, wa, sérieusement ..."

Que je refuse fermement ou pas maintenant, j'allais probablement perdre face à la pression de Hasumi et des autres et prendre part à la séance photo. J'en étais venu à comprendre approximativement le flux du vent.
“Mako ~, tes mesures ont-elles été prises? Ne vas-tu pas passer chez moi sur le chemin du retour? Mes parents ne sont pas là aujourd'hui. Je vais faire la cuisine alors je pensais que tu pouvais venir pour un repas. En plus, je n'ai pas club de Basketball."

Le chien Soutarou souriait de manière frivole en s'approchant pas à pas.
Le sourire insouciant de Soutarou m'énervait et je lui donnais un coup de poing dans le ventre. Cependant, ce simple coup de poing ne me semblait pas très percutant puisqu'il rigolait en disant "Qu'est-ce qui ne va pas, Mako ~?"

"Je vois ~. Tu es fatigué, n'est-ce pas, Mako?"

Soutarou portait un gilet en tricot d'un bleu profond au-dessus de sa chemise à manches courtes. Ces biceps étaient merveilleux. Ils provoquaient également l'envie et la jalousie.

"J'ai oublié mes vêtements de sport dans la salle du club. Ça te dérange si on va les chercher?"

Comme les clubs sportifs avaient déjà commencé leur entraînement alors que les membres du club 'rentre directement chez sois' ont commencé à rentrer chez eux, le couloir menant au bâtiment de la salle des clubs était calme.
Mon estomac grognait soudainement même si je mangeais du pain. Bien que pendant un moment je me sentais désolé pour Soutarou qui avait un sourire pur, j'étais incapable de réprimer mon irritation. Mettant ma colère sur lui, je maltraitais ses fesses.
Faisant semblant de faire un calin, je plongeai comme un aigle. J'étais surpris parce que c'était plus petit et plus dur que ce que je pensais. Cependant, ça devint plus élastique quand je malaxais. C'était plus agréable au toucher que prévu. Grope Grope , je pensais que mes mains s'y habituaient de plus en plus pendant le pétrissage.
Il me passait par l’esprit que si c’était le cul d’une fille, le pétrissage devrait être plus doux, sinon ça lui ferait mal, mais si c’était le Soutarou qui avait une telle construction, ça ne ferait probablement pas mal, même si je le pétrissais un peu fort. Avec cette pensée, je pétrissais comme je le voulais.
J'ai entendu dire qu'il y a des femmes fétichistes des culs mais je pense que je comprenais un peu leur mentalité.

"Wa, hein, euh, Mako?"

"Hey."

"Eh, quoi, Mako ..."

Le Soutarou nerveux aux joues rougies était plutôt mignon. Je riais inconsciemment à haute voix.

"Ce n'est rien. Je pensais juste que tes fesses étaient agréables à pétrir."

"Hein?! Qu'est-ce qui se passe avec ça? "

“C'est élastique. C'est peut-être un peu dur, mais ça fait du bien de les pétrir. "
Grope Grope , j'expliquais la sensation de pétrir pendant que je pétrissais les fesses de Soutarou. Soutarou semblait avoir abandonné, il me laissait pétrir ses fesses sans résister. Bien que ça ressemblait à un chien dont on frotté la tête, c'était aussi celui d'un parent qui veillait sur son enfant volontaire. J'appuyais ma tête contre la poitrine de Soutarou et fermais les yeux. Grope , je pétris les fesses de Soutarou pendant un moment, mais, réalisant qu'il avait posé la main sur mon dos, je devins soudain timide.　
C'était incroyablement égoïste de ma part de dire cela même si je l'avais fait comme bon me semblait, mais je serais nerveux à en mourir si Soutarou me maltraitait les fesses maintenant. Mon corps se contractait avec cette pensée mais Soutarou ne faisait que me serrer silencieusement.

"Tu peux toucher autant que tu le souhaites."

Il frottait le bout de son nez contre ma tempe.
Cette simple déclaration qu'il chuchota joyeusement à mon oreille me fit comprendre la gravité de ce que j'avais fait.

J'étais vraiment un idiot.

 

(ndt: Oui t'es idiot pourquoi tu vas malaxer le cul de quelqu'un pour te détendre, qui ferait ça à un ami? 0_0)

 

Chapitre précédent / Index / Chapitre suivant

Suivre le flux RSS des commentaires


Ajouter un commentaire

Nom / Pseudo :

E-mail (facultatif) :

Site Web (facultatif) :

Commentaire :