• Aku no joou kiseki chapitre 1 partie 3

     

    Partie 3:

     

    Bashir regarda de face Mari et répondit.

    "Quand la guerre a commencé, j'étais opposé à ce que vous partiez sur le champ de bataille, Votre Majesté. Mais pour sauver ma propre tête, je ne l'ai pas dit. Quand j'ai appris que Votre Majesté avait été abattu, j'étais submergé par mon propre crime. Sauver ma propre peau et perdre mon maître ...... Je ne veux plus ressentir un tel désespoir. "

    Quand Mari pensa que la Reine, en effet sortait à la guerre selon ses propres envies, elle avait mal à la tête.

    "…… Je suis désolé."

    Bashir paniqua quand Mari s'excusa en gémissant.

    "Votre Majesté! Nous devrions être les seuls à nous excuser. Nous ne vous avons pas protégé, et cela à causé des blessures sur votre précieux corps. "

    "Ça va."

    Elle parlait avec véhémence, interrompant ses paroles. Peu importe comment la Reine était celle qui était dans le faux.

    "Et acceptes mes excuses. Pour maintenant,....et pour plus tard. "

    Mari changea complètement. Elle rigola malicieusement en parlant.

    "Je ne peux pas, Votre Majesté!"

    "Je vais en première ligne, donne moi quelqu'un pour me protéger!"

    Déclara Mari tranquillement. Tous autour d'elle, y compris Bashir, furent surpris.

    "Votre Majesté! C'est dangereux!"

    "Je le sais. ...... Je dois créer une opportunité pour Darius. "

    Elle parla pour que tout le monde puisse entendre la première partie, mais la deuxième partie était chuchotée aux oreilles de Bashir.

    "…… Votre Majesté."

    "Je ne serai pas abattu. Si je le suis, nous perdons tout. C'est pourquoi je t'ai demandé de me recommander quelqu'un pour ma protection. "

    Bashir n'accepta pas les mots de Mari.

    "C'est nécessaire d'avoir un leurre. L'ennemi va savoir que nous allons l'attaquer avec des vagues humaine. Il est aussi possible qu'ils pensent que nous allons essayer de les piéger entre chaque attaques. Il est également possible qu'ils battent en retraite dès la première attaque. De plus, je dois rester sur le champ de bataille, je ne peux m’enfuir. Est-ce que quelqu'un d'autre peut être l'appât en dehors de moi? ...... Si je reste sur le champ de bataille, ils chercheront forcément à prendre l'appât. Peu importe combien c'est dangereux. "

    S'exprima avec conviction Mari.

    ... Elle s'exprimait d'une voix tourmentée en pensant aux cheveux blonds étincelants et aux yeux bleus qui semblait fixé sur elle.

    "Propose-moi quelqu’un de fiable".

    Bashir mordit ses lèvres face au tas de chevalier.

    "...... Pouvez-vous protéger Sa Majesté de votre vie?"

    "Hum, il n'y a pas besoin de fous qui mourront comme boucliers. Que dois-je faire après leurs morts? Je veux que vous me recommandiez quelqu'un qui pourrait me protéger jusqu'à la fin. "

    Il sourit amèrement en retour aux mots de Mari.

    "Si le Major-Général Darius était là, ce serait possible".

    "Ne sois pas stupide. Il m'abandonnerait si les choses devenaient dangereuses et se sauveraient à tout prix. En plus, je lui ai confié la force détachée. "

    Mari refusa immédiatement la proposition de Bashir. Elle était tout de même un peu surprise que Darius soit un Major-Général. Elle avait l'impression qu'il était à peine plus haut qu'un mercenaire, mais il s'était probablement emparé du poste grâce à ses capacités.

    Bashir ressentait des émotions complexes lors de l'évaluation par la Reine de Darius. Il s'inquiéta un moment et appela le nom de deux personnes.

    "Alors, qu'en est-il du général de division Leonir et du capitaine Holg?"

    Leonir était aussi un nom qu'elle avait entendu de Darius. Elle avait entendu dire qu'il était un bon tacticien, mais il semblait qu'il était aussi fort. C'était la première fois qu'elle entendait le nom Holg. Leurs images ne lui apparurent même pas quand elle avait entendit leurs noms. La même chose s'était passée avec Bashir. La Reine ne semblait pas s'intéresser par ces trois-là.

    (Elle était mauvaise pour juger les gens, non? ... En plus, elle a provoqué une rébellion.)

    Mari secoua la tête comme pour éliminer les pensées déprimantes qui circulaient sans fin dans son esprit. Elle y repenserai après.

    Elle se redressa et dit d'une voix froide.

    "Les généraux actuels sont libres de leurs fonctions. Le Lieutenant-Général Bashir assumera le poste de général. Désormais, le général Bashir aura les plein pouvoir sur les tactiques militaires! Toutes les troupes seront mises sous son commandement! Le général de division Leonir et le capitaine Holg, venez ici! Allez!"

    Bashir rougit aux paroles de Mari et accepta avant de partir sur une bête-chevalier.

    D'autre part, les hommes environnants portant des décorations vives, dévisageaient Mari avec insatisfaction.

    Cependant, quand Mari les regarda avec tyrannie, ils devinrent tous effrayés et suivirent Bashir.

    (Elle est vraiment nulle pour juger les personnes.)

    Mari attendit les deux soldats en soupirant parce qu'elle n'arrivait pas à trouver de personne utilisables.

     

    Une sueur froide courait dans son dos alors qu'elle se tenait sur la première ligne, désespérée. Elle força son corps à arrêter de trembler et résista à la nausée.

    C'était un véritable champ de bataille.

    (...... Cependant c'est juste un rêve.)

    Malgré ça, elle pouvait sentir des choses qu'elle pourrait difficilement imaginer dans un rêve.

    Quoi qu'il en soit, l'odeur était horrible. L'odeur métallique du sang et de la viande de bête se mélangeait.

    C'était quelque chose qu'elle ne pouvait connaître en regardant seulement la télévision ou en allant au cinéma. La peur menaça de s'emparer d'elle.

    Parlant de la ligne de front, Mari n'était évidemment pas au milieu de celle-ci. Grâce à la formation de son armée, les flèches ennemi ne pouvaient pas l'atteindre. Bashir ne lui permit pas de se rapprocher.

    Quand elle regardait autour d'elle, elle pouvait voir des gens gravement blessés qui étaient évacué.

    Il n'y avait pas de corps mort ou de personnes gravement blessées. Ils deviendraient un obstacle à la bataille, donc il était mieux qu'ils soient immédiatement retirés les gens du champ de bataille. Il était préférable pour eux de réorganiser la situation et de laisser place à l'attaque. Dans une bataille perdue, ceux qui ne pouvaient se déplacer étaient laissés là.

    Le champ de bataille débordait d'une soif de sang, de cris et de voix en colère. Le commandant sur la droite de Mari est tombé au sol alors que la flèche de l'ennemi traversait son abdomen. Il criait et se tordait.

    ...... Mari regretta d'être sorti en première ligne après quelques minutes.

    (Pourquoi suis-je dans un endroit comme celui-ci?)

    Ce n'était pas une scène qu'elle pouvait supporter même si selon sa raison c'était: «juste un rêve». Malgré ça, Mari ne s'est pas enfui car il lui était impossible de trahir la confiance de Bashir. Et elle ne pouvait pas non plus laisser les soldats se battre pour protéger quelqu'un comme elle alors qu'elle était la principale cause de cette guerre.

    (Tu ne peux absolument pas t'enfuir!)

    Les deux chevaliers qui protégeaient Mari saisirent ses mains tremblantes.

    Devant elle à sa gauche se trouvait le général de division Leonir et à sa droite, le capitaine Holg.

    Leonir était un grand jeune homme aux cheveux bruns brillant et aux yeux verts. Il avait l'air d'avoir le même âge que Darius. Il avait une belle apparence différente de celle de Darius, ainsi qu'une aura plus posée et plus aimable.

    Peu importe comment vous le regardez, Holg a l'air d'un garçon de 14 ou 15 ans. Il était mignon avec ses cheveux blonds doux et ses yeux noisette. Son visage rond était bien rose et il l'avait accueillie avec une voix de soprano. Il fut embarrassé quand il vit la robe déchirée de Mari et lui présenta son manteau. C'était un enfant gentil et attentif.

    Mari se sentit mal à l'aise lorsqu'elle vit leur beauté. Mais selon la recommandation de Bashir, ils étaient des soldats remarquables. Ils ont parfaitement bloqué sans interruption les flèches arrivant vers Mari.

    Mari admirait ouvertement leurs compétences et se calma un peu.

    "Quelle est la situation?"

    Demanda Mari, rapidement, dissimulant sa voix tremblante.

    "Notre armée met la pression, mais l'ennemi ne va pas se casser aussi facilement".

    Dit Leonir avec une voix calme.

    "Peu importe comment, ils n'ont aucune chance de gagner donc ils sont désespérés."

    La voix de Holg ne montrait pas d'impatience. Les deux se sont calmement défendu contre les attaques ennemi en parlant. Ce sang-froid diminua la tension de Mari.

    "Prévenez-les de se rendre ou nous continuerons d'attaquer. Le traitement des prisonniers sera garanti. S'ils acceptent, mettez-les à l'arrière. "

    Mari pu finir de parler sans trembler. Un soldat à proximité s’enfuit pour se rendre à Bashir.

    "Vous êtes gentille, Votre Majesté."

    Holg la regarda et sourit joyeusement.

    (... Est-ce que c'était gentil?)

    Mari pensa avec amertume. Une personne gentille ne voudrait pas de combat. Le cœur de Mari devenait de plus en plus lourd en voyant les gens s'effondrer et mourir un par un.

    (Dépêche-toi. Darius.)

    Pria Mari.

    La conclusion de la bataille s'était produit peu de temps après.

    Un groupe dirigé par Darius a renversé l'ennemi par-derrière et a capturé son commandant. Darius avançait tranquillement parmi l'armée ennemie, qui était chaotique après avoir perdu son commandant.

    "J'ai attrapé Margrave Mydal!"

    Leurs alliés criaient de joie devant Darius et de son groupe, pendant que l'armée ennemie rugissait de colère.

    (...... Margrave Mydal)

    Sur le dos de la bête-chevalier de Darius, qui s'approchait de Mari, un homme était attaché par une corde. Le soleil brilla sur les cheveux blonds de l'homme et ils étincelèrent.

    Le cœur de Mari se mit à battre fort quand elle le vit.

    “Alware.”

    Elle appela d'une voix tranquille et Alware portant Mari sur son dos, rugit.

    Cela semblait être le nom du commandant ennemi.

    Comme auparavant, les autres bêtes-chevaliers --- même les ennemies, ont henni en retour et abaissèrent leur tête.

    Alware possédait suffisamment de pouvoir pour être le roi des bêtes-chevaliers. Les autres bêtes-chevaliers se sont soumises à lui parce qu'il avait le plus de pouvoir dans le monde des bêtes. Cela n'a pas changé même avec les bêtes-chevaliers ennemies. En regardant ce seul point, la bataille cette fois était extrêmement défavorable pour l'ennemi. En outre, il y avait une trop grande différence dans le potentiel de guerre.

    Si la Reine n'était pas sortie sur le champ de bataille en portant une robe cramoisie visible, alors la rébellion aurait été supprimée par l'armée de la Reine. De plus, la Reine n'aurait pas été attaquée par l'armée rebelle.

    Néanmoins, le cœur de Mari était en agonie quand elle pensait à quel pouvait être la raison de leur rébellion.

    "Le résultat est clair! Abandonnez. Je vous garantirai un bon traitement. "

    Mari parla avec courage et sa voix froide retentit sur tout le champ de bataille.

    Woo ~! Sa propre armée applaudissait joyeusement.

    L'armée rebelle était stupéfaite et faillit déposer leurs armes. Cependant, il y en avait encore qui résistaient et s'opposaient à la Reine.

    "Reine du Mal!"

    "Meurs!"

    Une violente hostilité était dirigée contre Mari.

    (... Qu'est-ce que la reine a fait pour être tellement détesté?)

    Mais ces personnes ont été immédiatement saisies par son armée. Ils ont violemment immobilisé ces personnes, il y avait même des chevaliers qui battaient impitoyablement les hommes. Mari cria.

    "Ne maltraitez pas les prisonniers!"

    Les chevaliers se tournèrent vers Mari comme s'ils étaient surpris. Ils n'étaient pas seuls. Ses ennemis et ses alliés étaient tous stupéfiés.

    Elle avait dit quelque chose de naturel mais leurs réactions étaient dubitatives. Elle continua à parler.

    «Les prisonniers doivent être traités de manière humaine. Les actes de violence, les menaces, les insultes et les interrogatoires sont tous interdit. Je ne vous permettrais pas de les faire souffrir ni physiquement ni mentalement. La vengeance et la torture sont également interdites. Le pillage est évidemment également interdit. Traitez les blessés et laissez-les se reposer. Respectez-les en tant qu'hommes et traitez-les bien également. "

    Qu'est-ce qu'il y a? Mari se rappelait précisément les droits de l'homme qu'elle avait appris à l'école et cela correspondait à son discours.

    Beaucoup de gens ont été surpris et l'ont regardée. Quelqu'un a crié au moment où le champ de bataille était silencieux.

    "Menteuse! Tu es une démone. "

    "Tu ne me tromperas pas!"

    Mari reçu de nouveau des mots violents de la part des soldats ennemis qu'elle protégeait.

    "Vous pensez que je peux croire vos douces paroles?! Si ce sont vos vrais sentiments, pourquoi mon fils a-t-il dû mourir de faim?

    "Mes parents aussi! Des personnes sont condamnées à mourir de faim sans même pouvoir manger d'épluchure de légumes tout ça parce que vous avez vécu une vie luxueuse dans votre château."

    "Ma fille a été emmenée parce que je ne pouvais pas payer l'impôt ......"

    "Ma femme a eu sa jambe coupé juste parce qu'elle a donné un coup de pied à une pierre du château et elle est morte à cause de ça".

    Elle entendait des histoires qui lui donnaient envie de se boucher les oreilles.

    Mari était stupéfaite.

    (...... C'est horrible. La Reine ... Elle faisait ça elle-même?)

    Il n'était pas étonnant qu'une rébellion ait eu lieu ou qu'elle ait été poignardée.

    (Peut-être que je suis morte?)

    "Tais-toi!"

    Un chevalier leva à nouveau son bras comme pour frapper l'ennemi.

    "Arrêtez! Les mauvais traitements sont interdits. Combien de fois dois-je le dire?"

    Mari rapidement contrôla la situation.

    "Mais!"

    Néanmoins, le chevalier regarda Mari sans baisser sa main.

    "Comme je l'ai dit plus tôt, vous devez traiter les prisonniers avec respect. Peu importe ce qui se passe, je ne vais pas retirer cet ordre. "

    Aux mots tranchant de Mari, le chevalier baissa à contrecœur sa main.

    Un silence de mort planait.

    Le silence causé par la confusion fut brisé par l'homme blond attaché sur la bête-chevalier de Darius, Margrave Mydal.

    "Quel genre de farce est-ce? Votre Majesté la reine. "

    Ses yeux bleus confus regardaient Mari.

    "Je vous ai rencontré il y a quelques jours pour vous parler du sort du peuple, mais vous ne l'avez pas pris en compte. Vous ne m'écoutiez pas, peu importe combien j'ai plaidé. Vous m'avez chassé et fait sortir du château parce que je vous dérangeais à l'heure du thé. Arrêtez alors avec cette mascarade ennuyeuse. "

    Ces yeux bleus la regardaient comme s'il l'appelait à se rappeler.

    (Pourquoi n'ai-je pas remarqué son désespoir?)

    Écrasée par ces mots, Mari sentit ses bras et ses jambes se figer.

    Les poings de Darius bloquèrent les yeux bleus qui la regardaient comme s'ils pouvaient la percer. Le mercenaire battit impitoyablement Margrave Mydal et le fit tomber de la bête-chevalier.

    "Darius! Les mauvais traitements infligés aux prisonniers sont ...... "

    "Ce n'est pas un mauvais traitement ~!"

    Darius a réfuté les paroles de Mari.

    "Je frappe juste un homme qui fait pleurer une femme".

    Tout le monde était stupéfait devant les paroles indigné de Darius.

    "... Faire pleurer une femme?"

    Margrave Mydal, qui était blessé, était stupéfait. Il répéta les paroles de Darius et regarda Mari.

    Il vit une reine pâle alors qu'un ruisseau de larmes coulait sur son visage.

    Mari paniqua et cligna des yeux. Une autre larme tomba de ses yeux.

    (...... Wow. Je suis la pire ......)

    Mari se frotta ses joues.

    "Votre Majesté."

    Bashir, qui l'avait approchée discrètement, l'appela avec une voix calme et elle fut soulagée.

    "Les préparatifs pour le retour au château sont complets".

    Darius s'approcha d'elle et prit les rênes d'Alware.

    "Rentrons à la maison. C'est un retour triomphant. "

    (... Un retour triomphant. Un tel triomphe horrible n'existe pas.)

    Néanmoins, elle ne pouvait pas montrer une reine aussi pitoyable aux soldats qui avaient combattu aussi fort pour elle.

    Elle prit une profonde inspiration et redressa son dos.

    "Nous rentrons à la maison! Toutes les troupes, avancez!

    Des cris de joie pouvaient être entendus alors que sa voix résonnée dans tout le champ de bataille. Les chevaliers triomphants étincelaient sous la lumière du soleil. La scène ressemblait à un rêve. Mari pensa distraitement.

    (... Ce serait bien que ce soit un rêve.)

    La douleur poignardant sa poitrine ramena Mari à la réalité.

    La peine d'être exposé à l'hostilité et d'être traité comme un démon par l'armée ennemie, cette douleur qui traversait son corps tout semblait réelle. Mari commença à penser que ce n'était pas un rêve.

     

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    1
    kimii
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 15:45
    kimii

    Merci beaucouuuup pour le chapitre :)

    j'ai hate de voir ce que ce novel va donner

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    2
    Vendredi 29 Septembre 2017 à 23:38

    Merci pour le chapitre

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